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Lecture H-K - Japp Andrea H. - Dans la tête, le venin - Polar - 2009

AUTEUR : JAPP Andrea H.
TITRE : Dans la tête, le venin
CATEGORIE : Polar
SORTIE : 2009



RÉSUMÉ DU LIVRE :
Diane Silver est une des meilleures profileuses au monde et exerce ses talents à Quantico, au FBI. Traquer les tueurs en série est pour elle une affaire personnelle : sa fille, Leonor, a été torturée et tuée. Diane ne parvient toujours pas à comprendre. Comment Leonor, si méfiante, a-t-elle pu accepter de suivre son assassin ? Yves, un flic français qu'elle a formé aux techniques du profilage, est peut-être l'unique ami de Diane, dont le caractère difficile est notoire. Il la tient au courant de crimes commis en France avec une rare sauvagerie. Se pourrait-il qu'il existe un lien entre ces meurtres et ceux perpétrés au Mexique et à New York ? Entre ces affaires internationales, la traque d'un tueur de prostituées dans les rues de Boston, l'assassinat de Leonor, un fil se noue peu à peu, auquel n'est pas étranger le bizarre " stagiaire " que le FBI a imposé à Diane... Diane va alors ouvrir la boîte de Pandore, reconstituer le puzzle et remonter jusqu'au prédateur ultime. Et peu lui importent les conséquences.

LES CITATIONS :
J'ai trouvé ce roman pas mal, mais sans surprise (au point d'avoir deviné l'assassin). Je lis énormément de polar et il est vrai qu'il est devenu difficile de me surprendre dans ce genre de livres un peu "tous pareil"... dommage. Sinon se lit très facilement et on croche bien aux différents personnages, même s'il est dommage que certains soit traités en surface. Vu la fin du livre je suppose qu'il y aura une suite, peut-être en apprendrons nous plus sur certains personnages dans la suite, je l'espère du moins :) [Internaute - Amazon]
Je suis bien embarrassé. J'ai déja exprimé ma très vive admiration pour Andrea Japp, sous ses multiples facettes -- y compris comme excellente traductrice. Mais dans le cas présent, j'ai un peu le sentiment qu'elle se livre à des variations sur le thème qu'elle a déja traité dans "La Femelle de l'Espèce", sans d'ailleurs s'en cacher, bien au contraire. Mais, si ce n'est que pour s'exprimer sur elle-même, sans créer un réel "suspense" générateur de la qualité d'un "vrai" polar...Et donc, on reste sur sa faim, un peu déçu. Ce n'est donc pas une "critique" du roman, qui, en soi, est "bon" (on ne le quitte pas avant la fin), mais plutôt un regret, celui de n'avoir pas trouvé là encore une nouvelle facette, qu'elle semble avoir escamotée... [Internaute - Amazon]
Encore un ExCELLENT AH JAPP, elle nous raconte avec beaucoup de details (souvent durs) jusqu'ou une mère peut etre entrainée à faire ami ami avec un executeur qui seul la comprendra et qui la laissera l'aider! et vis versa Car voir sur video le massacre de sa petite fille!! insoutenable Mais la douleur à t-elle une frontière?? A LIRE ABSOLUMENT [Internaute - Fnac]
Comme à l'accoutumée, Andrea H. Japp construit beaucoup plus qu'un polar, elle décortique le psychisme, et nous propose une réflexion sur le bien, le mal, la douleur extrême et la justice.” [Femmes]
“[...] Andréa H. Japp signe un roman haletant qui interroge l'efficacité de la justice.” [Direct Soir]
Après une série de thrillers médiévaux situés dans une abbaye du Perche, Andrea H. Japp revient au XXIe siècle pour nous offrir un roman si terrifiant qu'il en devient vertigineux ! Par-delà l'Atlantique, deux femmes extraordinaires unissent leurs forces pour lutter contre le mal : Diane, une profileuse américaine, et Sara, une Parisienne dont la fille a été assassinée. Dans l'ambiance crépusculaire d'un monde contemporain en plein désarroi, le mystère commence peu à peu à se dissiper. Les deux combattantes devinent qu'un serial killer traque de par le monde les serial killers... Qui est ce prédateur de prédateurs ? Et doivent-elles le soutenir ? [Comité le Grand Livre du Mois]
 
L'AVIS DE NINA : 9/10
Comme d'habitude, je ne fais rien dans le bon sens... Ceci est le premier opus d'une série haletante rondement menée au travers de Diane Silver, profileuse au FBI. J'avais découvert l'auteur en me plongeant avec délices dans le second ouvrage de la série (qui en constitue en fait la suite), "une ombre plus pâle".
D'ailleurs c'est un peu dommage pour le suspense ; une partie de l'intrigue étant déjà dévoilée à ma connaissance. Néanmoins, j'ai pris plaisir à reconstituer les pièces du puzzle et à prendre la mesure de chaque personnage ; chaque rôle étant remarquablement décrit par l'auteur. En effet, celle-ci s'attache à envelopper de mystère ou de dualité chacun des protagonistes, ajoutant à la noirceur des crimes la violence des sentiments. La dimension psychologique de l'ensemble n'est pas en reste, ni notre penchant pour le mythe du justicier blanc versus le serial killer.
Le mal peut se cacher partout, jusque dans les jardins d'enfants ; la mère aimante peut être aveuglée par les signes trop souvent banalisés d'une adolescence en mal de sensations et d'appartenance. Une touche supplémentaire d'intérêt pour ce livre provient du fait qu'Andrea Japp pose son récit sur différents continents, avec différentes méthodes policières, mais avec la même atmosphère lourde et pesante du thriller glauque et glacé qu'affectionnent des auteurs américains comme Cornwell. Andrea n'a rien à lui envier ; vive les auteurs français !
Je viens de commander le suivant, "la mort, simplement", que vous pourrez retrouver bientôt dans mes fiches.

Date de création : 16/01/2010 @ 18:26
Dernière modification : 16/01/2010 @ 18:28
Catégorie : Lecture H-K
Page lue 1526 fois


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Réactions à cet article


Réaction n°1 

par Vik le 31/01/2010 @ 19:27

Et hop dévoré "boulimiqué" en une après midi, déçu par cet auteur ? Je dirais non puisque c'est son premier livre que je lis. L'identité du justicier tueur se laisse un peu trop devinée à mon goût moi qui ne trouve pas souvent les coupables. est ce qu'on peut se faire justice soit même ? Au US oui vue la liberté sur la vente des armes, chez nous non et je crois que c'est un bien même si la justice fait parfois des erreurs.
Il y a un passage que j'aime , c'est l'évocation de la jeunesse d'Yves; Le mode d'éducation, peut être un "peu rude" de cette époque (j'en suis pas mort et beaucoup d'autres non plus), est passé à la trappe avec mai 68 et on voit ce qui arrive de nos jours : l'abandon des parents qui arrivent plus à assumer leurs enfants difficiles, l'absentéisme dans les écoles, la perte d'autorité des instits et des profs ..... la liste est longue. Je fais peut être réac mais où ça va nous mener cette éducation ? J'attaque le tome 2 de suite. k
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